MAËL GARNIER – TRANSAT PAPREC

Vous l’avez peut-être suivi sur les réseaux ? Mais le pordicais Maël Garnier a participé à la Transat Paprec.

Il nous a partagé son aventure sur Instagram et Facebook.

Le départ de celle-ci a été donné le 30 avril à 13h02. Onze équipages 100% mixtes ont pris la mer pour cette 16ème édition de l’unique transatlantique en double du circuit Figaro BENETEAU dont le parcours reste inchangé : 3890 milles entre Concarneau et Saint-Barthélemy.

Maël Garnier et Julia Courtois (AGEAS – Ballay – Cerfrance – Baie de Saint-Brieuc) ont franchi la ligne d’arrivée de la 16e édition de la Transat Paprec ce vendredi à 8 heures 00 minutes et 58 secondes heure locale (14 heures 00 minutes et 58 secondes en métropole).

Ils terminent 7ème avec un temps de course de 19 jours, 00 heures, 58 minutes et 58 secondes. Maël Garnier et Julia Courtois ont effectué les 3.890 milles du parcours entre Concarneau et Saint-Barthélemy à la vitesse de 8,47 nœuds sur l’orthodromie (la route directe).

Les skippers de AGEAS – Ballay – Cerfrance – Baie de Saint-Brieuc ont en réalité parcouru 4080,22 milles à la vitesse moyenne de 8,93 nœuds. Ils sont arrivés à Gustavia 05 heures, 57 minutes et 25 secondes après les vainqueurs, Loïs Berrehar et Charlotte Yven (Skipper MACIF).

Leur réaction à chaud : 

Maël Garnier (Ageas – Ballay – Cerfrance – Baie de Saint-Brieuc) : « Il y a du bon au départ à Concarneau avec un beau parcours et une aile de mouette à négocier dans le golfe de Gascogne, on était un peu en retrait mais toujours dans le paquet, avec des bons lièvres à côté. C’est vers le Portugal que l’on a commencé à tricoter à l’envers et le long de La Palma, on a eu de petits soucis techniques au niveau des amures de spi et de gennaker. C’était très perturbant et chronophage et on a dépensé pas mal d’énergie à ce moment-là aussi. Après il a fallu se remettre en route. On a eu du vent fort des conditions pas faciles à La Palma mais on s’y attendait. Et derrière, on a fait marcher le bateau tant bien que mal pour rattraper les copains. On a presque cru à une remontada. On était un peu derrière Chloé et Hugo mais c’était chouette. C’était ma première transat et la première fois que je passais plus de cinq nuits en mer. Franchement, c’est long, et avec les sargasses à la fin, Saint-Barth, ça se mérite. »

Julia Courtois : (Ageas – Ballay – Cerfrance – Baie de Saint-Brieuc) : « J’ai adoré le bateau. Je n’avais pas fait tant de Figaro que ça. C’était vraiment génial. La navigation au contact m’a vraiment bien plu. »

 

Source : www.transatpaprec.com